Club Katel reprend ses désormais habituels quartiers au JVAL. Le traditionnel closing du festival sera à nouveau assuré par ce collectif de DJ et VJ de la région nyonnaise aux influences variées, qui cherche à rassembler et connecter les énergies pour créer des événements uniques. Leurs sets forment des mosaïques musicales mélangeant une multitude de genres, allant de l’italo à la trance, en passant par la disco ou la techno. Club Katel n’a qu’un seul mot d’ordre: danser! Le collectif, spécialisé dans la création de scénographies de type clubbing (mapping, lasers, VJing ou bandes LED), notamment avec une résidence annuelle à l’Usine à Gaz, a également imaginé et réalisé celle des afters 2023 du festival en collaboration avec le JVAL.

Esthétique teenage punk, tempos rapides et textes sensibles, THÉA se définit comme une emo-melo-dramaqueen. Artiste queer et engagée, son projet « Memento » raconte son histoire, ses questionnements, sa santé mentale et le système oppressif dans lequel on vit. Un monde complexe qui nourrit son art autant que sa rage, mais qui ne lui enlève pas pour autant l’envie de danser et de mettre des paillettes sur les rêves entachés de sa génération. Avec son acolyte AdLib, elle accorde une importance particulière à la scène et cultive le sens du spectacle pour présenter son univers.

À coups de beats hypnotiques, de cris de colère et de lives engagés, Crème Solaire promène son style atypique dans toute l’Europe depuis 2018. Composé de Rebecca Solari et de Pascal Stoll, ce duo suisse a la particularité de chanter dans les quatre langues nationales. Iels transcendent les frontières linguistiques aussi bien que les barrières musicales pour nous proposer une électro-punk aux effets explosifs. Leur dernier album « Cemento » est une invitation à « devenir fleur » au milieu d’une société bétonnée. Des sons qui poussent à réfléchir, transpirer et résister!

Léo Meynard, aka St Graal, est un auteur-compositeur-interprète bordelais, dont la musique se caractérise par un mélange de chanson française et de beats électro. En été 2021, alors inconnu du grand public, il poste un extrait de son titre “Les Dauphins” sur les réseaux et la toile s’enflamme! Ses chansons douce-amères, sa rythmique incisive, ses mélodies et sa voix envoûtante sont d’une efficacité redoutable. Ses textes sont quant à eux des hymnes à la vie et à l’amour, comme par exemple celui qu’il porte à la culture drag.

Pina_ est le nouvel alias rugueux d’un artiste plus connu pour ses dj sets techno industriels depuis bientôt 10 ans. À l’origine des soirées Banging à Genève, il s’allie cette année au JVAL pour une soirée aux sons club avant-gardistes. L’objectif est de mettre en avant la scène locale et internationale, toujours sous le signe d’une musique solaire et positive. Avec ses friends, il nous prépare une sélection spéciale de UK Bass, Latin Techno, Raptor House & Breaks pour l’Aftershow!

Scénographie imaginée et réalisée en collaboration avec Club Katel.

Derrière le nom DITTER un trio, mais surtout une musique qui frappe autant les corps que les coeurs. Une musique vivante, organique pleine d’hymnes à reprendre tous ensemble, un sourire aux lèvres et les hanches en mouvement. Un amour pour la pop, un soupçon de punk associés à une pointe de cynisme et toujours beaucoup d’humour, les sales gosses du fond de la classe sont désormais devant vous pour brûler la scène, leur grand terrain d’expression pour partager leur musique et vivre ensemble, enfin. 

Vous aimez la batterie ? Peter Kernel aussi. Après avoir marqué les éditions 2014 et 2018 du JVAL Openair avec des prestations à la fois visuelles et sonores, le duo tessinois revient cette année avec un tout nouveau projet: « Drum to Death ». Barbara Lehnoff et Aris Bassetti ont demandé à onze batteurs différents d’enregistrer des rythmes à partir desquels le couple a composé onze chansons. Chaque invité·e a ainsi apporté sa touche à cet album, tantôt psychédélique, électro, indie et définitivement rock. Une expérimentation musicale qui prouve une fois encore que Peter Kernel saura toujours nous surprendre. 

Derrière ce nom énigmatique se cache un groupe en perpétuelle expérimentation électrique et sensorielle. Depuis 2015, ce quatuor étonnant  et détonant s’attèle à déconstruire les clichés virilistes qui pèsent parfois sur le rock. Ici, pas de leader. Tout le monde chante, écrit et compose. Il en ressort un arty punk rock synthétique, qui se réinvente à chaque album. Bien plus que des concerts, leurs performances s’apparentent à une déflagration sonore dynamitant tous les codes, voire à un rituel chamanique. Un chaos jouissif et radical qui vise la transcendance collective!

Toi et moi, c’est Mahi et Tristan avec leur set à la k7 Disco-Rock, Acid-Punk et New Wave mais pas que. C’est aussi un mix de leurs propres Edit, Mashup et Remix façon mixtape des années 90 avec une sérieuse envie de vous faire danser. Il y a tout à parier pour que vous finissiez par vous déhancher sur leur sélection allant des années 70 à nos jours.

Scénographie imaginée et réalisée en collaboration avec Club Katel.

Compositrice, interprète, productrice et performeuse, Lola Bastard a plus d’un talent à son actif. Après avoir participé à plusieurs formations de renom comme Corbaal ou Ghost Suns, la Genevoise a décidé de se lancer dans un premier album solo intitulé « Governor’s Tavern », et dont la sortie est prévue à l’automne 2024. Sa musique est un mélange de pop, d’électro, de mélodies captivantes et de mélancolie. Seule sur scène, elle s’entoure de ses sampleurs et de son synthétiseur, armée de sa voix vibrante pour vous parler d’amour, de deuil et de vie.